Mauvaises pratiques pour le vaccin contre la grippe A

Des mauvaises pratiques face au vaccin contre la grippe A en France dans les « centres » de vaccination, le syndicat national des professionnels infirmiers (CFE-CGC) a dénoncé le lundi 9 novembre 2009 les conditions d’organisations des centres de vaccination H1N1, qui d’après eux relevaient de la « médecine vétérinaire ».

« L’Ordre National des Infirmiers ne peut cautionner une organisation mettant les infirmiers en position de pratiquer des actes clairement contraires aux Bonnes Pratiques Infirmières en usage, et peu en rapport avec un niveau de qualité et de sécurité des soins que le contexte sanitaire et humain de cette campagne de vaccination exige. »

« Un processus industriel de travail sur une « chaîne de vaccination » est inadmissible pour un acte soignant, car c’est contraire aux règles de bonnes pratiques et aux recommandations professionnelles. Dans un établissement de soins, c’est obligatoirement la même personne qui réalise les trois étapes, pour des évidences de sécurité et qualité des soins. Multiplier les intervenants, c’est multiplier les risques, et diluer les responsabilités. »

« Mais le vaccin H1N1 est particulier (fabriqué rapidement dans un cadre réglementaire dérogatoire, avec présence discutable d’un adjuvant), et injecter 94 millions de doses d’un produit sur lequel nous n’avons aucun recul peut poser un problème de santé publique(…) » Propos du secrétaire Général du Syndicat SNPI CFE-CGC.

L’Ordre National des Infirmiers ne cautionne pas la planification logistique de la vaccination telle qu’elle est prévue actuellement dans une circulaire du 21 août 2009, et notamment sur ces différents points :

Sur le manque de lisibilité des missions de l’infirmier intégré dans un vocable générique de « autres paramédicaux » qui est source de confusion pour l’organisation des soins, tant au sein des centres de vaccination, qu’au sein des équipes mobiles.

Sur le choix de scinder la préparation du vaccin entre plusieurs intervenants, impliquant, de fait, que celui qui prépare n’est pas celui qui injecte.

Sur le choix du Ministère de la Santé et des Sports en France de faire appel pour cette campagne aux étudiants en soins infirmiers de 3ème année dans le cadre d’un stage de quatre mois sous la responsabilité d’un infirmier.

Pour plus d’informations c’est sur le site Internet : http://www.syndicat-infirmier.com/

  1. Le sydicat CFE-CGC réalise que ses adhérents se sont fait utiliser, mouiller, contre leur idéal. Ils ne retrouveront leur parcelle d’honneur perdu là qu’en obtenant le droit de refuser d’injecter des vaccins ADDITIONNÉS (en l’occurrence de saloperies neurotoxiques cumulatives car liposolubles et donc à moitié aussi solubles irréversiblement dans les membranes de nos cellules), ce qui comprend le droit d’en connaître préalablement le composition complète.
    Cordialement et solidairement, chers camarades.

  2. Je reponds a michele que le vaccin ne protege en rien contre la propagation du virus;par contre les vaccins contiennent des produits bien plus dangereux pour la sante, ceux-ci etant la pour affaiblir le systeme immunitaire de la personne qui sera plus sensible aux agressions exterieures, donc au virrus de la grippe.Ce n’est pas le virrus qui est important, mais le terrain.

  3. Maman atteinte depuis 12 ans déjà de la maladie d’Alzheimer est hospilalisée dans un long séjour.
    En sachant que tout le personnel de santé ne s’est pas fait vacciner contre la grippe A, je m’inquiète.
    L’infirmière cadre m’a fait savoir quand cas d’épidémie dans la région un décrét préfectoral interdirait l’accès des familles aux malades.
    Et c’est là que je me fâche, car je m’occupe de maman depuis toujours.
    Alors les familles ne pourraient plus accéder à leurs malades mais le personnel non vacciné, OUI !!
    Qui me garantit que maman ne sera affectée par cette maladie par le personnel soignant non vacciné?